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22 et 23 mai, en route vers Bakou
Frontière géorgienne, pas de photo de celle d'Azerbaïdjan, la plus compliquée à passer depuis le départ. Douniers sympa, mais police des frontières excécrable. 2h30, je vous passe les détails...
La route, longue et monotone sur presque 600km, heureusement émaillée de clichés d'un autre temps...
Une bonne surprise, nous savions que le gasoil n'était pas cher dans ce pays producteur de pétrole, mais 1 manat valant 0,45€, les 200 litres se paieront... 54€!!! C'est pas du bonheur ça?
En passant devant des scènes comme celle ci, nous avons une impression de temps qui ralenti, de repartir des années en arrière..
Pas d'internet donc sans GPS et sans carte précise, nous terminons dans un cimetière.
Pays musulman, mais des vignes partout sur des dizaines de kilomètres, à droite...
comme à gauche.
32° dehors, pas un coin d'ombre et nous rêvons d'un pique nique au bord d'une rivière. Et ce restaurant qui tombe à pic pour le déjeuner. Très bon, et 7€ à 2.
Toujours le Caucase supérieur, mais il ne va pas tarder à sombrer dans la mer caspienne.
Vu la mare sous le moteur, le départ ne sera pas pour ce soir.
L'ancêtre de carrefour market.
Un pipe-line en construction.
Pays producteur de pétrole oblige. Vue de la plage où nous prenons le temps de nous reposer quelques heures avant de rentrer en ville, ce n'est autorisé qu'à partir de 20 heures pour les camions.
Et enfin arivée à Bakou. Les flame towers emblême de la ville.
Toujours et encore une vieille ville.
Très rénovée, peut être un peu trop, mais c'est joli.
Véhicule de police pour rue piétonne.
Un tagine à la mode azeri, délicieux, le cône de frites à côté.
Nous sommes au bout de ce jardin public qui longe la mer et qui demande plus d'une heure de marche pour être traversé de bout en bout. Ici, le musée des tapis, celui ci est enroulé! Nous sommes stationnés derrière à 5 mn du centre ville.
En arrière plan, toujours les flame towers et la station du funiculaire qui permet d'y accéder.
Et cette idée qui vient que tout celà ressemble à la rivièra française, un soupçon cannois sur le bord de mer, mais aussi très parisien en centre ville. Au fond, le Carlton et tout le long de l'avenue du bord de mer, c'est Chopard, Armani, Bulgari, j'en passe et des meilleurs.
Un manège enouré de portes en verre, surement à cause du vent qui souffle fort ici. Le camion bouge pas mal avec les rafales, ça berce.
Une petite touche fraçaise quand même.
Les réminiscences du grand prix de F1 qui vient de se dérouler ici. Bon, c'est vrai qu'en taxi ça ne vibre pas pareil...
Le palais du gouvernement.
Et là, du jamais vu! Un billot au milieu du rayon viande du super marché, c'est pour le folklore? Nenni, le boucher arrive découpe son bout de viande et finit... à la hache!
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22 et 23 mai, en route vers Bakou
Frontière géorgienne, pas de photo de celle d'Azerbaïdjan, la plus compliquée à passer depuis le départ. Douniers sympa, mais police des frontières excécrable. 2h30, je vous passe les détails...
La route, longue et monotone sur presque 600km, heureusement émaillée de clichés d'un autre temps...
Une bonne surprise, nous savions que le gasoil n'était pas cher dans ce pays producteur de pétrole, mais 1 manat valant 0,45€, les 200 litres se paieront... 54€!!! C'est pas du bonheur ça?
En passant devant des scènes comme celle ci, nous avons une impression de temps qui ralenti, de repartir des années en arrière..
Pas d'internet donc sans GPS et sans carte précise, nous terminons dans un cimetière.
Pays musulman, mais des vignes partout sur des dizaines de kilomètres, à droite...
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32° dehors, pas un coin d'ombre et nous rêvons d'un pique nique au bord d'une rivière. Et ce restaurant qui tombe à pic pour le déjeuner. Très bon, et 7€ à 2.
Toujours le Caucase supérieur, mais il ne va pas tarder à sombrer dans la mer caspienne.
Vu la mare sous le moteur, le départ ne sera pas pour ce soir.
L'ancêtre de carrefour market.
Un pipe-line en construction.
Pays producteur de pétrole oblige. Vue de la plage où nous prenons le temps de nous reposer quelques heures avant de rentrer en ville, ce n'est autorisé qu'à partir de 20 heures pour les camions.
Et enfin arivée à Bakou. Les flame towers emblême de la ville.
Toujours et encore une vieille ville.
Très rénovée, peut être un peu trop, mais c'est joli.
Véhicule de police pour rue piétonne.
Un tagine à la mode azeri, délicieux, le cône de frites à côté.
Nous sommes au bout de ce jardin public qui longe la mer et qui demande plus d'une heure de marche pour être traversé de bout en bout. Ici, le musée des tapis, celui ci est enroulé! Nous sommes stationnés derrière à 5 mn du centre ville.
En arrière plan, toujours les flame towers et la station du funiculaire qui permet d'y accéder.
Et cette idée qui vient que tout celà ressemble à la rivièra française, un soupçon cannois sur le bord de mer, mais aussi très parisien en centre ville. Au fond, le Carlton et tout le long de l'avenue du bord de mer, c'est Chopard, Armani, Bulgari, j'en passe et des meilleurs.
Un manège enouré de portes en verre, surement à cause du vent qui souffle fort ici. Le camion bouge pas mal avec les rafales, ça berce.
Une petite touche fraçaise quand même.
Les réminiscences du grand prix de F1 qui vient de se dérouler ici. Bon, c'est vrai qu'en taxi ça ne vibre pas pareil...
Le palais du gouvernement.
Et là, du jamais vu! Un billot au milieu du rayon viande du super marché, c'est pour le folklore? Nenni, le boucher arrive découpe son bout de viande et finit... à la hache!