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4 février 2020 le retour
3 heures du matin, arrivée à Islamabad.
7 mois que le camion est là, couvert de poussière aussi bien dedans que dehors. Nous finirons notre nuit en vrac, 13 heures de voyage, on est trop fatigués pour ranger.
Nous sommes loin des 2 mois prévu. Pourquoi si longtemps? Parce que, arrivant en France, non seulement les toubibs n'ont rien trouvé de mieux que de me poser un pacemaker afin que de battre mon cœur continue! Mais en plus ils m'ont découvert un cancer de la prostate, bénin, soi disant? rapide à soigner non! Entre les vacances des uns et des autres, les délais de rendez vous, d'analyses, les reports d'opération et la remise sur pied, l'histoire aura duré 7 mois!!!
1 nuit sur le parking et direction Lahore et la frontière Indienne. Il faut d'abord régler les problèmes administratifs du camion dont la durée de séjour au Pakistan à dépassée celle de nos visas. Enfantin direz vous... et bien pas du tout!
Départ 5 heures, lever de soleil sur l'autoroute.
Je vous passe les bâtiments des douanes, mais à côté se trouvait une église, curieux pour ce pays à 99,9% musulman.
En attendant une réponse des douanes de Lahore (qui ne viendra jamais) pourquoi pas aller faire un tour en Inde, pas avec le camion, nous pourrions être refoulés. Mais nos voisins de terrain vague (très propre celui là) y partent le lendemain. Le temps de faire 2 valises et c'est partit.
Nous arrivons à la frontière juste avant la cérémonie de fermeture des douanes qui est un spectacle hallucinant, mais pour l'instant les chauffeurs de foules excitent leurs compatriotes chacun de leur côté, et c'est à qui, indien ou pakistanais criera le plus fort.
Pour nous, c'est sympa, tout le monde nous applaudit quand nous traversons le no man's land. Super ambiance.
Mais arrivés au batiment des douanes, changement d'ambiance, nos visas sont périmés. En effet, le visa indien démarre à sa date d'impression contrairement à tous ceux que nous avons fait jusqu'à maintenant. C'est mort, donc REFOULES.
Retour à Islamabad pour refaire des visas
.
L'endroit est sympa, c'est le plus grand parc d'islamabad : the jasmins and roses garden;
Très bucolique surtout le matin;
Un peu moins après l'école entre le cricket et le foot.
Quand je dis bucolique, tout ne peut être parfait, ils ont vidé la poubelle hier (c'est tous les 15 jours) mais tout ce qui est par terre reste par terre.
Le maché en face de chez nous, un des plus anciens d'Islamabad, le problème ? il faut traverser 3 fois 2 voies rapides sur lesquelles chaque piéton est une cible!
Vendeur de pieds de vaches ou découpeur de canne à sucre, il n'y a pas de sot métier!
Rungis, la boutique de Sayed;
Comment conserver le poisson : en l'emballant dans des nouvelles fraîches.
Je pense que c'est la brigade de l'hygiene qu'ils ont enfermé dans leur voiture.
Moins bucolique.
Juste à côté, un gardien de parking très gentil mais qui doit avoir le nez bouché.
Branchement sauvage mais indispensable pour faire fonctionner...
..le photocopieur en face du bureau des visas.
2 tombes, enre 2 voies de circulation, étrange!
Des voyageurs, des vrais! juste un sac à dos chacun! Echanges d'info sur les délais et les formalités de visa
D'autres voyageurs, plus luxueux, mais à 5 plus le chien, nous ne les enviont pas.
Un ourlet de pantalon, 5 centimes d'euro
Parly 2 pakistanais, concentration des vendeurs de matériel informatique.
Et comme partout, les petits boulots.
Réminiscence de mes souvenirs de gosse quand mon père me ramenait des cadeaux publicitaires CALTEX.
Un commandant de police sympa nous emmène avec sa voiture personnelle à l'ambassade d'Inde car notre taxi n'arrive pas . En France, c'est en panier à salade qu'on nous ramène...au trou!
Et voilà les visas, donc direction frontière pour essayer de passer malgré que nous n'ayons toujours pas l'extension de visa pour le camion, mais nous ne risquons rien à essayer!
Raté, il faut retouner à Islamabd avec un avocat, 8 heures de route A/R et 11heures dans les bureaux avant d'avoir ce papier qui fait 10 lignes, merci Hussain de nous avoir aidé dans cette galère.
C'est fait, le papier devrait être bon, les visas sont OK, en route pour Wagah, le poste frontière.
C'est bon! nous sommes passés! Ne reste la frontière indienne.
N'oublions pas les aigles, très présents dans tout le nord est du pakistan, c'est trop beau à regarder.
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4 février 2020 le retour
3 heures du matin, arrivée à Islamabad.
7 mois que le camion est là, couvert de poussière aussi bien dedans que dehors. Nous finirons notre nuit en vrac, 13 heures de voyage, on est trop fatigués pour ranger.
Nous sommes loin des 2 mois prévu. Pourquoi si longtemps? Parce que, arrivant en France, non seulement les toubibs n'ont rien trouvé de mieux que de me poser un pacemaker afin que de battre mon cœur continue! Mais en plus ils m'ont découvert un cancer de la prostate, bénin, soi disant? rapide à soigner non! Entre les vacances des uns et des autres, les délais de rendez vous, d'analyses, les reports d'opération et la remise sur pied, l'histoire aura duré 7 mois!!!
1 nuit sur le parking et direction Lahore et la frontière Indienne. Il faut d'abord régler les problèmes administratifs du camion dont la durée de séjour au Pakistan à dépassée celle de nos visas. Enfantin direz vous... et bien pas du tout!
Départ 5 heures, lever de soleil sur l'autoroute.
Je vous passe les bâtiments des douanes, mais à côté se trouvait une église, curieux pour ce pays à 99,9% musulman.
En attendant une réponse des douanes de Lahore (qui ne viendra jamais) pourquoi pas aller faire un tour en Inde, pas avec le camion, nous pourrions être refoulés. Mais nos voisins de terrain vague (très propre celui là) y partent le lendemain. Le temps de faire 2 valises et c'est partit.
Nous arrivons à la frontière juste avant la cérémonie de fermeture des douanes qui est un spectacle hallucinant, mais pour l'instant les chauffeurs de foules excitent leurs compatriotes chacun de leur côté, et c'est à qui, indien ou pakistanais criera le plus fort.
Pour nous, c'est sympa, tout le monde nous applaudit quand nous traversons le no man's land. Super ambiance.
Mais arrivés au batiment des douanes, changement d'ambiance, nos visas sont périmés. En effet, le visa indien démarre à sa date d'impression contrairement à tous ceux que nous avons fait jusqu'à maintenant. C'est mort, donc REFOULES.
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.
L'endroit est sympa, c'est le plus grand parc d'islamabad : the jasmins and roses garden;
Très bucolique surtout le matin;
Un peu moins après l'école entre le cricket et le foot.
Quand je dis bucolique, tout ne peut être parfait, ils ont vidé la poubelle hier (c'est tous les 15 jours) mais tout ce qui est par terre reste par terre.
Le maché en face de chez nous, un des plus anciens d'Islamabad, le problème ? il faut traverser 3 fois 2 voies rapides sur lesquelles chaque piéton est une cible!
Vendeur de pieds de vaches ou découpeur de canne à sucre, il n'y a pas de sot métier!
Rungis, la boutique de Sayed;
Comment conserver le poisson : en l'emballant dans des nouvelles fraîches.
Je pense que c'est la brigade de l'hygiene qu'ils ont enfermé dans leur voiture.
Moins bucolique.
Juste à côté, un gardien de parking très gentil mais qui doit avoir le nez bouché.
Branchement sauvage mais indispensable pour faire fonctionner...
..le photocopieur en face du bureau des visas.
2 tombes, enre 2 voies de circulation, étrange!
Des voyageurs, des vrais! juste un sac à dos chacun! Echanges d'info sur les délais et les formalités de visa
D'autres voyageurs, plus luxueux, mais à 5 plus le chien, nous ne les enviont pas.
Un ourlet de pantalon, 5 centimes d'euro
Parly 2 pakistanais, concentration des vendeurs de matériel informatique.
Et comme partout, les petits boulots.
Réminiscence de mes souvenirs de gosse quand mon père me ramenait des cadeaux publicitaires CALTEX.
Un commandant de police sympa nous emmène avec sa voiture personnelle à l'ambassade d'Inde car notre taxi n'arrive pas . En France, c'est en panier à salade qu'on nous ramène...au trou!
Et voilà les visas, donc direction frontière pour essayer de passer malgré que nous n'ayons toujours pas l'extension de visa pour le camion, mais nous ne risquons rien à essayer!
Raté, il faut retouner à Islamabd avec un avocat, 8 heures de route A/R et 11heures dans les bureaux avant d'avoir ce papier qui fait 10 lignes, merci Hussain de nous avoir aidé dans cette galère.
C'est fait, le papier devrait être bon, les visas sont OK, en route pour Wagah, le poste frontière.
C'est bon! nous sommes passés! Ne reste la frontière indienne.